Dans les années 1980 et 1990, le grand sujet environnemental était sans conteste la sauvegarde de la couche d’ozone. Plus de trente ans après le traité de Montréal en la matière, la situation s’est nettement améliorée. Si les efforts se poursuivent, le trou de la couche d’ozone pourrait être réparée en 2060.
Les bonnes nouvelles dans le domaine de l’environnement sont suffisamment rares pour être soulignées. Alors que les débats et efforts sur le réchauffement climatique se cantonnent à des espérances de limitation des dégâts, dans le domaine de la couche d’ozone, la situation est beaucoup plus réjouissante.
Mieux, c’est un dossier qui dans son développement et son évolution donne de l’espoir sur la capacité de réaction de la communauté internationale. Dans les années 1980 et 1990, la protection de la couche d’ozone était de loin le premier sujet de préoccupation environnemental. Et aujourd’hui, « D'après les études menées sur terre et à l'aide de satellites de la NASA, le trou dans la couche d'ozone serait donc bel et bien en train de diminuer. Lentement mais sûrement puisque d'après ces scientifiques, la couche d'ozone pourrait être complètement réparée en 2060 »
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