Un grand nombre de structures mafieuses spécialisées dans le crime environnemental pullulent, en parallèle d’un important business : trafic d’espèces protégées et autres actions illégales.
Un article en ligne du journal Ouest France souligne l’urgence avec laquelle ces crimes doivent être éradiqués et punis.
Le crime environnemental : 4ème source de revenu du crime organisé
L’article d’Ouest France énumère la longue liste que constitue le crime environnemental dans sa généralité : « trafic d'espèces protégées et de déchets, pêche et déforestation illégales. »…Car « les crimes contre l'environnement rapportent beaucoup pour des risques limités, au point de devenir la quatrième source de revenu du crime organisé. »
Ainsi, avec le crime environnemental, on peut atteindre « de 70 à 213 milliards de dollars par an selon Cees Van Duijn, responsable de la sous-direction criminalité environnementale d'Interpol à l'origine d'une Conférence internationale intitulée « Sécurité et crimes contre l'environnement » organisée lundi et mardi à Nîmes. »
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