Mauvaise nouvelle, les pirates informatiques pourraient facilement s’emparer des futurs véhicules autonomes. C’est un rapport qui l’affirme.
Les ingénieurs n’y avaient pas pensé… Si on est impatient de découvrir (et de conduire) ces voitures électriques et autonomes, d’ici deux à cinq ans, un problème inattendu est en train de surgir : les voitures 2.0 pourraient facilement se faire hacker… Les véhicules sans chauffeur comme les Google Cars dont les prototypes seront testés sur les routes californiennes cet été, offriraient pas mal de prises à des pirates informatiques mal intentionnés. Comme celle, par exemple, de forcer « la voiture à accélérer au lieu de freiner, entraînant une collision à grande vitesse », rapporte 20 Minutes. Mais aussi, explique le rapport de deux sociétés américaines spécialisées dans la sécurité informatique, un autre genre de cyber-attaque pourrait provoquer « un freinage d’urgence inapproprié plutôt qu’un freinage en douceur, pouvant entraîner la perte de contrôle du véhicule. »
Pourquoi ? Parce que ces petites voitures intelligentes représentent une prouesse en terme de hautes et de nouvelles technologies. Mais qui dit technologies de pointe, dit aussi multiples capteurs lasers ou numériques : caméras, radars, sonars ou LIDAR, soit la télédétection par laser, d’obstacles par exemple. Ces capteurs sont gérés à distance par des programmes informatiques. Résultat, des hackers pourraient pirater ces logiciels, s’introduire dans « le système grâce aux connexions sans fil, bluetooth et wifi. »
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