Dans le cadre de la loi sur la biodiversité, l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a travaillé sur l’impact sur la santé des néonicotinoïdes. Le rapport d’étape estime que lorsque les niveaux réglementaires sont respectés il n’y a pas d’effet nocif sur la santé humaine. L’Anses recommande cependant la vigilance autour d’une substance en particulier.
L’Anses a publié un rapport d’étape sur les effets sur la santé humaine des néonicotinoïdes. Le rapport final est attendu pour le deuxième trimestre de l’année. Le point d’étape est assez rassurant même si les résultats sont donc à prendre avec des pincettes en attendant les conclusions définitives.
« dangers pour la santé humaine présentés par les six substances actives de la famille des néonicotinoïdes autorisées dans le cadre des règlements relatifs aux produits phytopharmaceutiques et/ou biocides et/ou médicaments vétérinaires (acétamipride, clothianidine, imidaclopride, thiaclopride, thiaméthoxame et dinotéfurane). » explique l’Agence dans un communiqué. Résultat, « ces travaux ne mettent pas en évidence d'effet nocif pour la santé humaine, dans le respect des conditions d'emploi fixées dans les autorisations de mise sur le marché. L'Agence rappelle donc l'importance du respect des conditions d'emploi prévues dans les autorisations de mise sur le marché des produits pour prévenir d'éventuels impacts sur la santé humaine. »
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