L’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne est la source de vives inquiétudes de la part des associations de défense de l’environnement. Le gouvernement français a beau multiplier les annonces pour rassurer, l’harmonisation de normes entre les deux grands espaces ouvre la porte à de grandes régressions, estiment les militants.
La phase finale approche, le Ceta va entrer en vigueur vraisemblablement fin 2018. Alors que depuis plusieurs années cet accord de libre-échange avec le Canada, au même titre que son équivalent le Tafta, ont connu un traitement politico-médiatique paradoxal. Point de fixation des militants écologistes et souverainistes, il n’a jamais défoulé les foules et mis à part quelques houleuses consultations et oppositions démocratiques (Lire ici le cas de la Belgique). Il entre donc ne vigueur dans un climat d’indifférence générale et de vive contestation à la marge.
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