Moins connu que le crowdfunding, le crowdlending est pourtant en train de se faire une place sur le marché du financement participatif. Comme son grand frère, ce concept de financement est basé sur une participation des particuliers qui choisissent eux-mêmes les projets auxquels ils versent de l’argent. Mais là où le crowdfounding est un versement d’argent sans contrepartie, le crowdlending est en fait un prêt, remboursé par la suite avec des intérêts.
Autre différence : dans l’hexagone, de plus en plus de projets concernant les énergies renouvelables sont financés grâce à ce type d’investissements. Les particuliers et les collectivités locales n’hésitent plus à prêter de l’argent pour la construction de centrales solaires ou photovoltaïques, donnant ainsi un bon coup de pouce au développement de l’énergie verte sur le territoire français.
Un financement participatif qui se spécialise dans les énergies renouvelables
En France, le financement participatif est régulé depuis 2014. Et aujourd’hui en 2017, on remarque que le baromètre du crowdlending français est au beau fixe. Réalisé chaque année par l’entreprise bordelaise crowdlending.fr, cet indicateur observe qu’en 2016, ce sont 83 millions d’euros qui ont été investis et ont servi à financer 651 projets différents. Et parmi les seize plateformes françaises qui séduisent les investisseurs, Lendosphère attire particulièrement les regards : c’est la première plateforme de crowdlending spécialisée dans le financement de projets liés à la transition énergétique. Les projets proposés par la plateforme servent à développer le secteur des énergies renouvelables dont le boum économique assure l’attractivité auprès des investisseurs.
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