Les commerces dits non-indispensables n’ont pas été fermés pour des raisons sanitaires !
Cette affirmation ne vient pas de France, mais de nos sympathiques voisins Belges et non, ce n’est pas une histoire belge !
D’ailleurs, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais l’humour par les temps qui sont les nôtres, est de plus en plus difficile.
La moindre blague peut vite être mal prise.
Coronavirus en Belgique : fermer les commerces pour « obtenir un effet choc » !
Voici ce que nous apprend cet article de la RTBF source ici qui est un média central et de référence en Belgique, pas franchement un site complotiste si vous voyez ce que je veux dire, mais plutôt l’équivalent de France 2 :
« A quelques jours de cette réouverture, des propos tenus par le ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke, ont fait bondir ces commerçants.
Il a reconnu que cette mesure était plus psychologique qu’autre chose : il fallait créer un électrochoc. « Faire du shopping ne comporte pas de risques quand tout est bien contrôlé. [On a pris cette décision] parce qu’à un moment donné, on devait prendre une décision choc. Il fallait vraiment faire un électrochoc. Il fallait dire clairement ‘on bloque' », a-t-il déclaré au micro de la VRT ».
On ne vous le dira pas encore en France, pays des nuages radioactifs qui s’arrêtent à nos frontières, mais en termes sanitaires il n’y avait strictement aucune raison pour fermer les commerces dits non-essentiels.
L’effet choc du confinement qui confine…
Comme nous sommes de grands enfants, infantilisés systématiquement par nos dirigeants, en France, comme en Belgique, il fallait décider de mesures qui nous « choquent », car cela est également le cas en France.
Nous avons fermé des centaines de milliers de commerces pour afficher un confinement qui confine vraiment, pas des mesures qui soignent…
Non seulement en termes sanitaires la fermeture de ces commerce n’a pas de sens, mais économiquement, c’est dévastateur.
La bonne stratégie ?
C’est l’approche « Paretto » !
On ferme 20 % des lieux qui génèrent 80 % des infections.
Or, nous savons aujourd’hui où le virus se transmet le plus.
Dans les lieux de vie clos où le port du masque est compliqué comme les bars, les restaurants, les salles de sports etc… Accessoirement, les rassemblement familiaux posent aussi (comme ceux en entreprises ou les collègues mangent tous sans masques ensemble) des problèmes. Nous savons aujourd’hui définir avec une relative précision les lieux à risques.
Alors socialement comme économiquement, il faut tout laisser ouvert… et ne fermer QUE ce qui doit l’être, et indemniser massivement ce qui ne peut pas ouvrir pour préserver leur capacité de reprise à la fin de la crise sanitaire.
Il faut donc limiter au maximum le nombre de lieux fermés pour concentrer les aides sur ces derniers qui doivent n’être que des lieux scientifiquement prouvés de contamination significative.
Tout le reste ce n’est ni de la politique, ni de l’économie, ni de la médecine, mais de la bêtise crasse d’une classe dirigeante inepte à la direction des affaires.
Ils nous coûtent, par leurs décisions absurdes qu’ils cumulent comme jamais lors de cette crise, « un pognon » de dingue et il est absolument ahurissant qu’aucun contre-pouvoir ne se lève contre ces inepties intellectuelles.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !