D’après une étude du think tank Terra Nova, il faudrait diviser par deux la consommation pour que l’élevage intensif et toutes ses conséquences écologiques néfastes diminuent. Un objectif pas si difficile à tenir quand on regarde plus près les quantités astronomiques que nous consommons.
La viande n’est plus un produit de luxe. Ce n’est plus un bon plat que l’on prépare de temps en temps pour marquer le coup ou pour bien accueillir un hôte. C’est devenu une habitude, à tel point que les prix n’ont cessé de baisser sans que l’on se rende bien compte que la qualité aussi a baissé. Ça c’est uniquement du côté de nos habitudes, et c’est déjà discutable. La maltraitance animale fait régulièrement la une des journaux. Les abattoirs deviennent des lieux où la cadence est terrible et les bêtes sont traités comme des objets. Des pratiques qui doivent déjà en elles-mêmes nous faire réfléchir sur nos habitudes.
Mais quand on regarde du côté de l’élevage et des conséquences écologiques, c’est beaucoup plus inquiétant.
Lire la suite sur RSE Magazine