Bien sûr, personne ne peut se réjouir de l’épidémie de coronavirus. Heureusement, la maladie n’est pas très virulente. En revanche, les conséquences sur l’économie mondiale, et, égoïstement, sur la nôtre, se font déjà sentir.
Partir dans les destinations non touchées par le coronavirus
Tous les restaurateurs, hôteliers, gérants de cinéma, de théâtre ou de boutiques de centre-ville vous diront qu’ils sont en retard sur leur chiffre d’affaires. Du côté des voyagistes, c’est pire : les clients annulent à tour de bras. Alors c’est le moment. Oui, c’est le moment de chercher les bons plans.
Je ne vous propose évidemment pas de partir en Italie ni non plus en Chine ou au Japon. Mais il y a des tas de destinations qui ne sont PAS touchées par l’épidémie, et qui souffrent pourtant de la défiance des touristes, et d’annulations massives. Il est par exemple possible en ce moment de partir pour Bali ou la Thaïlande à moins de 500 euros, en formule tout compris. Oui, c’est en Asie, mais si vous regardez bien sûr une carte, c’est à des milliers de kilomètres du foyer du virus.
Profiter de bons plans
Vous voulez partir de l’autre côté ? Tout pareil : en ce moment, on part en République dominicaine pour à peine plus cher. Et l’on part aux États-Unis aller-retour, hors hébergement, pour moins de 400 euros en étant malin. Et si vous visez plutôt un petit week-end en France, là encore, pas mal d’hôtels ou par exemple, de centres de thalasso, bradent leurs tarifs, car eux aussi déplorent une baisse des réservations. Même ceux qui n’accueillaient pas de touristes chinois.
Et n’oubliez pas : vous pouvez réserver pour demain, la semaine prochaine, mais aussi pour dans plusieurs mois. Promos et prix cassés sont partis pour durer, le temps que durera la crise.