Il est des insistances qui sont vraiment malvenues. Et, en ce lundi 6 mai, on est servi par deux histoires plutôt rocambolesques. La première histoire concerne Virgin. Selon Le Parisien qui relate cette mésaventure, l'opérateur mobile a refusé de résilier le contrat d'un adolescent de 16 décédé en janvier dernier. Le père du jeune homme a en effet été mis en demeure de régler l'abonnement téléphonique de son enfant. Selon le père, Virgin aurait même refusé de résilier le contrat de l'adolescent avant de reconnaître ce lundi une erreur humaine. Oui une erreur humaine ou inhumaine plutôt. Et ce n'est pas faute d'avoir tenté de faire les choses correctement souligne Le Parisien. Une lettre recommandée avec certificat de décès a pourtant bien été envoyée à l'opérateur mais à l'époque rien n'y fait et la réponse d Virgin est sans détour. Le père doit s'acquitter de la facture de son fils : 18,99 euros. Finalement, ce lundi et sans doute grâce à la médiatisation de cette affaire, Virgin vient de reconnaître une erreur humaine... Il y en a un qui risque de se faire salement taper sur les doigts.
Mais les entreprises publiques ne sont pas en reste. Comme l'indique plusieurs sites d'information ce lundi, les impôts sont aller chercher leur dû jusqu'au cimetière. Vous n'y croyez pas ? Allez donc faire un tour ici ou encore ici. Comme le rapporte ce lundi Ouest France, le Trésor Public a bien envoyé une lettre à un mort. Pas à son domicile ni a celui de sa veuve ou de ses enfants mais bien à l'adresse exact où il repose en paix : « cimetière d'Autheuil - tombe 19 - 61190 Autheuil ». Pas d'erreur informatique, l'adresse du cimetière est bien écrite à la main. Mais qu'est-ce qui a bien pu passer par le tête de l'administration d'aller écrire à un mort à son dernier domicile ?