Si Dieu est tout, alors Dieu est aussi l’argent !

Pour nos amis juifs ou musulmans, pour les chrétiens, Dieu est tout. Il peut être grand aussi, ce qui revient au même. Il est tellement grand qu’il est tout.

Si Dieu est tout, alors il est aussi l’argent !

Et là je sais, beaucoup seront choqués de voir mis l’argent au rang du divin.

Contrairement à ce que l’on pense, parce que l’on comprend mal le message des religions, ou que l’on a été, et c’est particulièrement le cas en France, lobotomisé par 50 ans de socialismo-communisme, l’argent n’est pas mal.

L’argent n’est pas le mal.

Mieux.

L’argent, recèle en lui une part divine.

Laquelle me direz-vous ?

L’énergie.

Dieu est énergie… comme l’argent !

On dit que l’économie c’est de l’énergie transformée. C’est vrai. Cette énergie est pour la plupart d’entres nous physique et simple (du pétrole, de l’électricité etc), mais si nous regardons au-delà, cette énergie a aussi une dimension divine. L’argent, la monnaie, les pièces d’or ou d’argent, peu importe, sont une façon de stocker cette énergie liée au travail des hommes. L’argent, la monnaie, les pièces d’or ou d’argent, peu importe, sont une forme d’énergie capable de mettre en mouvement les hommes.

L’argent n’est pas mal en soi.

Ce qui peut être mal c’est la manière dont nous l’utilisons.

Est-ce pour construire des armes et s’entretuer ? Est-ce pour bâtir des cathédrales à la gloire de Dieu ?

Cette énergie financière, nous les hommes, sommes libres de l’utiliser comme nous le voulons.

Quand vous n’aimez pas l’argent, alors d’une certaine manière vous n’aimez pas Dieu.

Vous confondez une source d’énergie et un outil avec ce que vous en faites ou ce que vous en ferez.

A chacun de nous de rendre l’argent pertinent et nos propriétés fertiles contre ceux qui ont l’argent triste et la propriété futile.

Mais l’argent n’est pas mal.

Je vais même aller plus loin.

Croire que l’argent est mal est un très grand péché car cela empêche de voir l’essentiel. 

Il est facile de dire que l’argent est sale.

Encore plus facile de dire que l’argent est mal.

Et encore, encore plus facile de dire que je n’aime pas l’argent.

Le problème et c’est là que réside le péché, c’est que dire cela c’est chercher des boucs émissaires.

C’est refuser de dire que le mal c’est nous.

Que le mal c’est l’homme quand il se laisse aller à ses plus viles pulsions.

C’est refuser de dire que le mal est en nous. Pas dans l’argent. En nous.

Il est plus rassurant de dire que l’argent est le problème plutôt que de dire que le problème est en moi. L’alcoolique pourrait dire que l’alcool est le diable, alors que l’alcool n’est pas le diable, c’est l’alcoolique qui ne sait pas soumettre l’alcool ni se raisonner ni se maîtriser.

C’est aussi refuser d’exercer ses talents, les talents dont Dieu nous a tous dotés.

Je n’aime pas l’argent. Pas besoin de travailler. Droit à la paresse. Droit à l’oisiveté. Non, pas d’effort.

Pas besoin, et puis je n’aime pas l’argent. Pourtant Dieu attend de nous que nous poursuivions sa création, que nous utilisions nos talents pour participer à l’évolution vers un monde meilleur, un monde “parfait”. Travailler aussi pour les autres, pour le bien commun, pour la prospérité partagée.

Dieu est tout et il est aussi l’argent.

A nous de créer les conditions d’un capitalisme fertile et respectueux.

Ce capitalisme existe.

C’est celui des petites entreprises, de la propriété privée partagée, c’est celui des loi anti-monopole, c’est celui où chaque petit patron compte parce qu’il a charge d’âmes et que chaque personne de son entreprise compte parce qu’elle n’est pas un simple numéro avec un “matricule agent”.

N’ayez pas peur de l’argent, n’ayez pas peur de la réussite, n’ayez pas peur d’être riche.

Notre pays et notre population doivent se réconcilier avec l’argent, car si nous n’aimons pas un peu l’argent et la richesse, alors, nous ne serons jamais riches.

N’ayez pas peur de l’argent.

Ayez peur de vous, et craignons Dieu.

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Que ce soit la gauche ou la droite ou le centre, il faudra renflouer les caisses.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !