La villa du film Scarface mise en vente faute de locataires

Jean Baptiste Le Roux
Par Jean-Baptiste Le Roux Publié le 13 mai 2014 à 8h44

L’énorme villa de Santa Barbara, appartenant dans le célèbre film Scarface à Tony Montana, un petit escroc devenu parrain de la pègre locale, est mise en vente. Faute de locataires, son actuel propriétaire n’a aujourd’hui d’autres choix que de s’en séparer.

Qui n’a jamais rêvé de vivre la vie de truand, en regardant le mythique film de Brian de Palma, Scarface ?

La maison de Tony Montana dans Scarface à vendre pour 35 millions de dollars

C’est désormais chose possible, pour la maison du moins. Mais il vous faudra débourser la modique somme de 35 millions de dollars, soit 25,4 millions d’euros. Alors certes le film n’est pas l’histoire même d’un exemple moral à suivre, pour autant la maison, elle, relève du paradis à condition d’en avoir les moyens bien sûr. Une vue incroyable sur l’océan, 14 chambres, neuf salles de bains… Un lieu de villégiature idéal pour amateur de cinéma fortuné.

Son propriétaire n'a pas le temps de s'y rendre, il la vent

La maison, située en Californie, à Santa Barbara, est d’ailleurs surnommée dans le coin "Little Paradise". Elle appartient depuis 2008 à un homme d’affaires russe. Cependant le "pauvre" homme n’a pas le temps d’en profiter, du fait d’un emploi du temps professionnel surchargé. C’est pourquoi l’homme a décidé de mettre son bien immobilier en vente, faute de pouvoir la louer.

Une tentative ratée de location à 10 000 dollars la semaine

Le millionnaire russe a en effet tenté de la louer. Mais il semblerait que pour un tel prix, personne n’ait été tenté de passer quelques jours dans la villa qui abrita Al Pacino pendant le tournage de Scarface. Les tarifs ? 10 000 dollars la semaine, et 30 000 dollars par mois. Pour espérer pouvoir fouler le sol du bureau de Tony Montana, il faudra désormais débourser un peu plus…

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Jean Baptiste Le Roux

Jean-Baptiste Le Roux est journaliste. Il travaille également pour Radio Notre Dame, en charge du site web. Il a travaillé pour Jalons, Causeur et Valeurs Actuelles avec Basile de Koch avant de rejoindre Economie Matin, à sa création, en mai 2012. Il est diplômé de l'Institut européen de journalisme (IEJ) et membre de l'Association des Journalistes de Défense. Il publie de temps en temps dans la presse économique spécialisée.